Mot-clé - Jules Claretie

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La chronique selon Jean-Bernard

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La Vie Parisienne C'est Jules Claretie qui a donné la formule définitive de ces chroniques qu'on a l'habitude de publier de droite et de gauche sous la rubrique « la Vie ide Paris ». « Des anecdotes vraies, des lettres inédites et des souvenirs historiquess redevenus d'actualité par des  […]

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Une lettre de Jules Claretie à la maison Bachelin-Deflorenne (1872) à propos de Sarcey, de Londres et de Gustave Doré

Mon Cher Editeur, J’achève les Ruines et fantômes. Vous recevrez cela bientôt. J’ai déjeuné hier avec Sarcey. Nous avons causé du London de G. Doré. Il s’est plaint qu’ayant fait un long article sur les Ires livraisons, on ne lui ait pas envoyé les autres. Moi, j’attends aussi le tout pour payer -  […]

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Il a paru ! Gloire lui soit rendue !


Nous l'attendions : il a paru, c'est formidable. Ce livre de Paul Edwards, le fondateur de l'Ouphopo (ouvroir de photographie potentielle), est un ouvrage de référence rassemblant les récits et fictions dénigrant un art neuf, la photographie. Son sous-titre (celui du livre) en dit la haute importance. Ce qu'il ne dit pas, ce sous-titre, en revanche, c'est qu'au-delà des galéjades réactionnaires, des moqueries bien naturelles et des fictions de belle eau, digne de séduire les plus experts, tels Coolter et Quincampoix (Codex Atlanticus), suggérées par cet art naissant, on y découvre le vrai visage du véritable inventeur, jusqu'ici anonyme, de la photographie.
Oui, nautesses, nauteux, vous trouverez en avant-première la gravure qui, désormais, fera foi en la matière.
Si l'on ignore encore l'identité du bonhomme qui créa dans l'anonymat la photographie, on assiste à la présentation de sa trouvaille.
Vous ne pourrez pas dire que l'Alamblog se moque de vous ! Voilà de l'information inédite, nous la devons à Paul Edwards lui-même.
Toute librairie digne de ce nom contient d'ores et déjà une pile de cet ouvrage majeur, plaisant, savant et décillant entre ces murs. Pour faire court, ce livre est un must, un vade-mecum, un usuel, un indispensable. Et je pèse le choc de mes mots.

Paul Edwards, Je hais les photographes. Textes clés d'une polémique de l'image. — Paris, Anabet, 2006, 23 €

Et pour découvrir l'image et le sommaire, suivez le guide :

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