Mot-clé - Jean Richepin

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Algérois et Algériens par René-Louis Doyon

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René-Louis DOYON Méditerranéen des Syrtes au golfe du Lion en passant par l'amarissima et la tyrrhénienne. Sous le signe de la mer aux trois continents et sous la robe du mandarin qu'il endossa pour consterner les sots, René-Louis Doyon est une inquiétude qui gouaille et fouaille. Il n'a pas acquis  […]

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La Guerre n'a pas eu de poète... (Victor Snell)

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La guerre n'a pas eu de poèteElle a révélé des prosateurs On attendait de la guerre un poète, et elle ne nous en a pas donné. Les niaises acrobaties de M. Edmond Rostand ont semblé pénibles à ceux-là mêmes qui eussent voulu leur être le plus indulgent, et c'est une preuve du néant de la poésie  […]

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Truandailles (avoir des châsses ou n'en avoir pas)

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Jean Richepin (1849-1926) va finir par être à la mode. Depuis la réédition du Coin des fous (Séguier, 1996), des Morts bizarres (L'Arbre vengeur, 2010) et de La Glu (José Corti, 2010), ce "roman du temps de Montmartre", voici que se constitue un groupe de recherche et d'édition autour de  […]

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La littérature est mauvaise fille (Joyeux Noël aussi !)


(Michel NEDJAR, crayons noirs divers sur enveloppe, 16 septembre 2001, coll. part.)

Soyez chics avec votre Vous, votre Moi, votre Ça et votre Sur-Ça (sans parler de votre Monte-là-dessus)

Offrez-vous LA LITTERATURE EST MAUVAISE FILLE !

14 nouvelles increvables

Des présentations poilantes

Des bibliographies béton

Une couverture doublée d’un frontispice de Michel NEDJAR ! (ça c’est pas rien !!!)

Bref, pour ne rien vous cacher :

UN LIVRE DE PRESTIGE

équipé d’un sommaire de prestige

(que même l’ambassadeur qui frime avec ses Ferrero en aluminium doré y peut pas se le payer !)


Eric DUSSERT La Littérature est mauvaise fille. Illustration de Michel Nedjar. — Villelongue d’Aude, L’Atelier du Gué, 198 p., 19 €

Pour se le procurer :
Lekti-ecriture.com
Les éditions L’Atelier du Gué

Pour découvrir la table des matières, cliquez sur “Lire la suite”.

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Il a paru ! Gloire lui soit rendue !


Nous l'attendions : il a paru, c'est formidable. Ce livre de Paul Edwards, le fondateur de l'Ouphopo (ouvroir de photographie potentielle), est un ouvrage de référence rassemblant les récits et fictions dénigrant un art neuf, la photographie. Son sous-titre (celui du livre) en dit la haute importance. Ce qu'il ne dit pas, ce sous-titre, en revanche, c'est qu'au-delà des galéjades réactionnaires, des moqueries bien naturelles et des fictions de belle eau, digne de séduire les plus experts, tels Coolter et Quincampoix (Codex Atlanticus), suggérées par cet art naissant, on y découvre le vrai visage du véritable inventeur, jusqu'ici anonyme, de la photographie.
Oui, nautesses, nauteux, vous trouverez en avant-première la gravure qui, désormais, fera foi en la matière.
Si l'on ignore encore l'identité du bonhomme qui créa dans l'anonymat la photographie, on assiste à la présentation de sa trouvaille.
Vous ne pourrez pas dire que l'Alamblog se moque de vous ! Voilà de l'information inédite, nous la devons à Paul Edwards lui-même.
Toute librairie digne de ce nom contient d'ores et déjà une pile de cet ouvrage majeur, plaisant, savant et décillant entre ces murs. Pour faire court, ce livre est un must, un vade-mecum, un usuel, un indispensable. Et je pèse le choc de mes mots.

Paul Edwards, Je hais les photographes. Textes clés d'une polémique de l'image. — Paris, Anabet, 2006, 23 €

Et pour découvrir l'image et le sommaire, suivez le guide :

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Le "Pressbook" de Jean Richepin

Pour avoir commandé à la librairie La Poussière du temps, à Paris, la livraison inaugurale des Livrets du Mandarin en parfait état, qu’il cherchait vainement depuis une paire de lustres (ouais !!!), Le Préfet maritime a eu le plaisir de recevoir, en outre, le catalogue n° 9 de ladite librairie.Point  […]

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