Mot-clé - Emile Zola

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Zola, Dreyfus, nous tous, contre les affreux

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Philippe Oriol nous fait passer ce message important à propos du Musée Dreyfus/Maison Zola : Les amis, Vous le savez, je m'occupe d'un beau musée, très beau, magnifique même, très nécessaire (en cette époque où les immondes bestioles qui ont pu sembler il y a quelques décennies souffrir de pelade  […]

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Zola & Dreyfus ont leur musée

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Ouverture cette semaine - le 15 il nous semble - après restauration de la Maison Zola devenue également Musée Dreyfus. Quelque chose nous dit qu'on pourra y voir quelques-uns des vieux journaux qui ont battu le rappel et quelques autres merveilles historiques. Il se dit aussi que Philippe Oriol,  […]

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Fonderie du destin (rappel)

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En avril 1861, la revue américaine Atlantic Monthly publiait anonymement Life in the Iron Mills, un texte de Rebecca Harding Davis devenu un classique de la littérature américaine. Et un classique du naturalisme, pour tout dire, devançant d'assez loin Emile Zola. Née à Washington (Penns.) le 24  […]

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L'anarchiste-singe (Filadelf Gorilla)

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J.-L. Faure, Chiromonkey L’anarchiste-singe Voilà donc que le singe apparaît. Aussitôt que la faiblesse et la corruption s’emparent du corps social, le singe avance son museau et montre son rictus sarcastique… Le singe c’est la nature chaste, pure, saine, qui n’est pas fardée, exténuée, corrompue,  […]

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L'eau à la bouche

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Claude Duneton est un malin, il ne s’y est pas trompé en chroniquant tout récemment la nouvelle édition de Mots de table, mots de bouche, le dictionnaire de Claudine Brécourt-Villars consacré au lexique du manger et du boire. Très largement documenté (chez Emile Zola, Henri Duvernois ou François  […]

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Le Monstre selon Gaston Chérau

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De l'avis de Gaston Chérau (1872-1937) lui-même, Le Monstre est son oeuvre la plus parfaite.Et c'est en effet une nouvelle qui a de quoi surprendre les lecteurs de ses romans les plus notoires, Champi-Tortu ou Monseigneur voyage, à l'aune desquels on a bêtement considéré Chérau comme un auteur  […]

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Il a paru ! Gloire lui soit rendue !


Nous l'attendions : il a paru, c'est formidable. Ce livre de Paul Edwards, le fondateur de l'Ouphopo (ouvroir de photographie potentielle), est un ouvrage de référence rassemblant les récits et fictions dénigrant un art neuf, la photographie. Son sous-titre (celui du livre) en dit la haute importance. Ce qu'il ne dit pas, ce sous-titre, en revanche, c'est qu'au-delà des galéjades réactionnaires, des moqueries bien naturelles et des fictions de belle eau, digne de séduire les plus experts, tels Coolter et Quincampoix (Codex Atlanticus), suggérées par cet art naissant, on y découvre le vrai visage du véritable inventeur, jusqu'ici anonyme, de la photographie.
Oui, nautesses, nauteux, vous trouverez en avant-première la gravure qui, désormais, fera foi en la matière.
Si l'on ignore encore l'identité du bonhomme qui créa dans l'anonymat la photographie, on assiste à la présentation de sa trouvaille.
Vous ne pourrez pas dire que l'Alamblog se moque de vous ! Voilà de l'information inédite, nous la devons à Paul Edwards lui-même.
Toute librairie digne de ce nom contient d'ores et déjà une pile de cet ouvrage majeur, plaisant, savant et décillant entre ces murs. Pour faire court, ce livre est un must, un vade-mecum, un usuel, un indispensable. Et je pèse le choc de mes mots.

Paul Edwards, Je hais les photographes. Textes clés d'une polémique de l'image. — Paris, Anabet, 2006, 23 €

Et pour découvrir l'image et le sommaire, suivez le guide :

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