René-Louis DOYON Méditerranéen des Syrtes au golfe du Lion en passant par l'amarissima et la tyrrhénienne. Sous le signe de la mer aux trois continents et sous la robe du mandarin qu'il endossa pour consterner les sots, René-Louis Doyon est une inquiétude qui gouaille et fouaille. Il n'a pas acquis […]
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René-Louis Doyon plaqué au mur
Une nouvelle adresse pour le tourisme littéraire dans le Marais. Elle est apparue hier à 17 h 30 lors de la pose d'une plaque commémorative sur le 2, impasse Guéménée (métro Saint-Paul). C'est là que vivait le Mandarin, dit aussi le Cyclope, dit Quéqué par ses intimes, j'ai nommé René-Louis Doyon […]
Emile Chautard cliché
Voici enfin grâce à Gallica la bouille à moustaches d’Émile Chautard, fameux typographe et auteur de La Vie étrange de l'argot et du Glossaire typographique, ouvrages que René-Louis Doyon, qui n'appréciait guère le bonhomme à moustaches, tenait en piètre estime, bien qu'il soit responsable de […]
Non à la suprématie du saumon !
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Un maquereau sur les ondes
Jacques Munier a évoqué ce matin (6h35) dans sa chronique des "Matins de France Culture" (“L’essai et la revue du jour”) l’Éloge du maquereau de René-Louis Doyon (Serge Safran, septembre 2014). En terme onctueux et doux à nos oreilles. René-Louis Doyon Éloge du maquereau. Édition établie […]
Du maquereau et de ses origines... (Céline et Camus ont liké)
Le 9 octobre prochain reparaîtra dans de nouveaux atours le fameux Éloge du Maquereau du non moins fameux René-Louis Doyon (1885-1966). C'est à l'enseigne des éditions Serge Safran qu'apparaîtra la fraîche conserve de papier, pleine de surprises, vous verrez ça. Enquête lexicographique et […]
Eloge du maquereau (René-Louis Doyon reparaît !)
A l'occasion de la réédition le 9 octobre prochain du fameux Eloge du Maquereau de René-Louis Doyon (1885-1966) à l'enseigne des éditions Serge Safran, voici quelques définitions gracieusement offertes par l'Alamblog. Serviteur. La Curne de Sainte Palaye 1. Maquereau, Maquerel, Maqueriau. [Poisson […]
René-Louis Doyon aux obsèques de Laurent Tailhade (1921)
Un portrait peu courant de René-Louis Doyon traînait dans Floréal, en accompagnement d'un article relatant les obsèques de Laurent Tailhade, où le Mandarin fit son discours - il en parle du reste dans ses mémoires, si la mienne n'a pas fondu. Il s'agit d'une caricature, certes, et l'on ne peut […]
La Connaissance au eu grandement raison... (1920)
Georges Fourest, La Négresse blonde La Connaissance a eu grandement raison de nous offrir une réédition de La Négresse blonde, de Fourest. D'abord parce qu'on fait toujours bien en popularisant Un ouvrage admirable, ensuite parce que la réapparition de ce livre-souche, dont les éditions antérieures […]
La Connaissance de René-Louis Doyon
La Connaissance (Paris) : ne manque pas, dans un autre domaine, de faire aussi de la bonne besogne. Malgré lés difficultés matérielles qui prennent à la gorge une revue jeune s'acharnant à paraître sur cent pages. « La Connaissance » accomplit son programme, avec sérénité. René-Louis Doyon, son […]
Les débuts difficiles de René Doyon
René Doyon C'est une tête très originale que celle de M. René Doyon. Il y a dans l'ensemble qui la caractérise du bedeau, du cabotin et du clerc d'huissier. Ses habits dégagent un vague parfum de sacristie et, d'avoir vécu longtemps dans la pénombre des églises, il a l'air, maintenant, d'un pauvre […]
Joseph Quesnel (1897-1931)
On ira voir sur le site des amis de Remy de Gourmont les pages qui concernent Joseph Quesnel car cet illustrateur, poète et prosateur n'est pas le dernier des personnages intéressants de Coutances. Il est mort très jeune, à peine plus âgé qu'Henri Gaudier-Breszka. On retient aisément, à son sujet, […]
René-Louis Doyon et les tapis de Gustave Fayet
D’autres couleurs ou les tapis de Gustave Fayet, par René-Louis Doyon, Paris, à la Connaissance, 1924, in-8°. Sur un fond qui évoque les colorations changeantes du ciel, des nuées, de l’eau qui dort ou tourbillonne, une flore irréelle flotte, s’étoile de corolles imprévues, pousse des ramifications […]
Une imprécision (Isabelle Eberhardt les attire)
Dans un article nécrologique consacré à l’Américaine Cecily Mackworth (1911-2006), bien connue des mallarméens, Anthony Sheridan avance qu’un séjour de la voyageuse en Algérie en 1950 procura à la communauté intellectuelle la première biographie d’Isabelle Eberhardt (Le Monde, 18 août 2006, p. 26). […]
L'Affaire Molière (I)
Un Watergate de la recherche universitaire ? On attendait ça depuis longtemps : la documentation rassemblée par Pierre Louÿs (1870-1925) en vue du procès de Molière va paraître, ou du moins les bonnes feuilles de cet ensemble de près de trois mille pages.Fayard l’annonce pour le 11 octobre […]
Le "Pressbook" de Jean Richepin
Pour avoir commandé à la librairie La Poussière du temps, à Paris, la livraison inaugurale des Livrets du Mandarin en parfait état, qu’il cherchait vainement depuis une paire de lustres (ouais !!!), Le Préfet maritime a eu le plaisir de recevoir, en outre, le catalogue n° 9 de ladite librairie.Point […]
Du métier d'écrire des polissonneries... (Léon Daudet, Victor Margueritte, Edmond Haraucourt & Cie)
Afin de réfléchir un peu, et de se consacrer à la littérature (il n'y a pas que les oiseaux dans la vie, pas vrai ?), voici la première des "Controverses et polémiques" servies en décembre 1922 par René-Louis Doyon (1885-1966) dans un nouveau journal, La Vie littéraire et artistique, directe et unique concurrente des Nouvelles littéraires naissantes. Le critique, éditeur, libraire et polémiste y dévoile une manière d'aborder la littérature : la voie industrielle. On n'a pas fini d'en parler depuis que Sainte-Beuve a donné "La Littérature industrielle" dans la Revue des Deux Mondes de septembre 1839.
Nota bene
Il est entendu que l'article date de 1922. Aussi, toute ressemblance avec des écrivains d'aujourd'hui ne serait qu'une involontaire coïncidence. Quoique... A bien y réfléchir, on pourrait s'amuser à remplacer les patronymes et les "segments de marché" pour obtenir un jeu de société des plus insolents. Mais nous ne sommes pas insolents... En tout cas, pas ce matin. On n'a pas bien dormi.